La Caisse Desjardins et nous: une longue et belle histoire
Plusieurs savent que les caisses Desjardins, plus précisément le centre de services sur le boulevard Saint-Joseph à Orléans, et le MIFO partagent une longue histoire. On se souvient que les premières rencontres des fondateurs et des bâtisseurs de notre centre culturel se déroulaient souvent dans le sous-sol de la caisse populaire. Depuis, Desjardins est toujours resté un important partenaire du MIFO: pour la vie culturelle de notre quartier, pour la construction de notre nouveau centre, pour les services aux employés et pour les services aux membres.
Voici quelques personnes qui sont membres autant de la Caisse Desjardins que du MIFO et qui ont de bons souvenirs à vous raconter.
Joëlle, ancienne employée du MIFO
Joëlle est convaincue que Desjardins transforme les vies et permet la réalisation de rêves.
«Si j’ai été capable d’être où j’en suis maintenant sur le plan personnel et professionnel, c’est parce que des gens et des institutions ont cru en moi. Je suis convaincue que pour permettre à la relève de s’épanouir, pour que les "jeunes " contribuent à construire une meilleure société, il faut qu’on leur laisse une première chance. Pour moi, le succès de la jeunesse, ça passe entre autres par l’engagement des organisations comme Desjardins que je considère comme un incubateur et un propulseur de talents et de rêves.
Sans trop m’en rendre compte, Desjardins m’a accompagnée dans chacun de mes rêves. Que ce soit pour l’achat de notre première maison, la planification financière de nos voyages ou des études de nos enfants, ou à titre de partenaire et donateur majeur du MIFO; Desjardins était-là. Desjardins était également là pour accompagner à peu près tous mes amis à "devenir" des adultes accomplis tandis que la plupart des grandes institutions financières leur tournaient le dos pour réaliser leur projet, comme l’achat de leur première propriété.»
Hélène, membre du MIFO
Pour Hélène, les caisses Desjardins sont synonymes de compétence et d’excellence.
«Chez Desjardins, je suis très bien servie par des employés compétents, polis et ponctuels. Les connaissances des conseillers financiers permettent à la clientèle de prendre de judicieuses décisions quant à leurs placements.
De plus, la caisse Desjardins est un fidèle supporteur des Franco-Ontariens et Franco-Ontariennes depuis aussi longtemps que je me souvienne. Merci et bravo à la caisse Desjardins.»
Gabrielle, employée du MIFO
Gabrielle connaît bien l’histoire du MIFO et par conséquent, les liens étroits qu’il entretient avec Desjardins depuis plus de 40 ans. D’aussi loin qu’elle se souvienne, Desjardins a aussi fait partie de sa vie.
«Mon attachement aux caisses populaires me vient de mes grands-parents paternels fransaskois. À une autre époque, ils géraient ensemble une caisse en Saskatchewan. Ils étaient de fervents défenseurs de la langue française et du modèle coopératif.
J’ai des souvenirs très précis de mes sorties à la caisse, surtout avec ma mère. Pauvre Maman quand elle tentait de se concentrer sur ses finances pendant que les trois enfants — mon frère, ma sœur et moi — étions incapables de se taire. Un jour, ce fut mon tour d’aller au guichet pour la première fois. J’ai reçu un petit carnet flambant neuf, celui qu’on glissait dans la machine pour imprimer les transactions et les soldes. Aujourd’hui encore, je fais affaire chez Desjardins.
En travaillant pour le MIFO, j’ai pu découvrir de nouveaux aspects de la caisse: la collaboration, la passion ainsi que l’importance de la famille et de la communauté. Lorsque nous avons organisé le souper des fondateurs de l’organisme, il allait de soi qu’ils se déroulent dans cet endroit qui a accueilli le MIFO à ses tout débuts. Ce fut une soirée magique que je n’oublierai jamais.»
Normand, membre du MIFO
Normand a toujours été fidèle à Desjardins. Lui aussi, depuis qu’il est enfant, fait affaire avec cette importante institution.
«Je suis membre de la caisse populaire depuis 1951. À cette époque, j’avais 11 ans et j’étais membre de la succursale Saint-Jean-Baptiste. Il y avait un bureau pour les étudiants. Puis, aux environs de 1967, j’ai changé de succursale pour celle de Vanier où André Martin était le gérant. Finalement, je suis devenu membre de la succursale Saint-Joseph à Hull et je le suis encore à ce jour. J’ai eu des hypothèques, des prêts personnels et surtout, de bons amis aux caisses pop.
Je fus un spécialiste en systèmes comptables pour les banques et les caisses. Je vendais et installais des machines comptables mécaniques, puis électroniques, une révolution, car on partait des écritures manuelles. L’objectif était d’améliorer le service à la clientèle.
Desjardins a toujours aidé et continuera toujours à aider les francophones. Merci et toutes mes félicitations à cette institution à notre service.»
Desjardins
Partenaire principal
Spectacles et Cinéma
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